mercredi 3 novembre 2010

Mercedes va toujours plus loin (deuxième partie)

On poursuit donc notre tour d'horizon des innovations chez Mercedes. Après la présentation hier des simulateurs de conduite et du futur Magic Body Control qui équipera la Classe S prochainement, allons faire un tour à bord de la F800. La firme à l'étoile a une tradition qui consiste à développer des concept cars pour montrer de nouvelles technologies. La F800 n'échappe à la règle. Ce concept, présenté lors du dernier salon de Genève, qui peut accueillir une chaîne de traction hybride "plug in" (rechargeable) ou électrique avec une pile à combustible, intègre également des équipements de pointe pour la sécurité.



Un assistant pour les embouteillages (DISTRONIC Traffic Jam Assistant) permet par exemple de laisser la voiture gérer les arrêts et redémarrages dans le trafic, en se calant sur les véhicules de devant. Ainsi, la F800 peut suivre toute seule une file, même quand la trajectoire est en courbe.

Voir la vidéo de la F800 :



Une autre fonction très appréciable est la commande tactile à bord.


Ce qu'elle apporte de plus ? La commande tactile est liée à de la réalité augmentée.



Un écran permet de visualiser les commandes auxquelles on a accès (téléphone, radio, clim..). Ainsi, pas besoin de toucher à un bouton au tableau de bord.  Les doigts sont représentés à l'écran, ce qui permet de façon intuitive de naviguer dans les menus.


Voilà qui nous amène à parler maintenant de l'infotainment. Mercedes travaille notamment sur le couplage de la navigation avec Internet, dans le cadre du projet MY COMAND, pour apporter un meilleur service. L'autre nouveauté est bien sûr le kit iPhone de la Smart qui transforme le mobile d'Apple en navigateur GPS, kit Bluetooth et autoradio pour écouter des webradios.

Voir la vidéo :



Et pour terminer, un mot de la mobilité du futur.


Comme je l'ai déjà écrit sur ce blog, les concept cars de la marque sont généralement inspirés, en associant un design de rupture avec des technologies de pointe. Le constructeur allemand, qui outre son centre de recherche de Stuttgart, a des bureaux dans la Silicon Valley, en Chine et en Inde, n'a sans doute pas fini de nous surprendre. Il tient en tout cas à sa réputation de pionnier...